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Photo du rédacteurMyriane Barnier

La mémoire des murs...


La mémoire des murs, c’est l’expression qui me vient après la géobiologie accomplie en région PACA dans le Vaucluse la semaine dernière. La mémoire des murs me ramenait dans des périodes douloureuses de cette belle maison de village ancestrale.

Je mesure à quel point la technique est importante mais l’écoute et l’aspect « spirituel » du lieu sont importants. Je réalise en toute humilité que je suis simplement un instrument en service et au service. Dans cette demeure de 500 mètres carrés le rez de chaussée est particulièrement affecté.


Avant géobiologie

Les premières étapes de recherche sur le plan indispensable dans mon approche de la géobiologie je découvre un taux vibratoire bas, une ligne de points d’énergie zéro, des cheminées cosmo-telluriques. Je corrige le tout et démarre l’étape suivante. Avant tout, regardez cette première photo avant la géobiologie. Remarquez ce voile dans les escaliers et dans l’entrée.

L’étape suivante je nettoies en énergie chaque pièce de la cave au grenier. Ce que je découvre m’interpelle. Au rez de chaussée à l’extrémité du bâtiment je ressens beaucoup d’ivresse, des personnes saoules déambulent dans la pièce. Je partage cette sensation à la personne propriétaire. Elle m’annonce que dans cette pièce il y avait un pressoir que sa famille a détruit. L’ancien propriétaire était vigneron. Je découvre dans l’entrée et dans tout le couloir de la maison de la violence physique. Dans la pièce en face du pressoir des cris et beaucoup de rigidité de la part d’un homme. Je ressens un carcan…

La personne propriétaire m’informe que les allemands avaient réquisitionné le rez chaussée de la maison pendant la 2ème guerre mondiale.

Cette famille depuis de nombreuses années dormait mal la nuit. Les nuits le sommeil était entrecoupé. Regardez cette deuxième photo après la géobiologie la netteté des escaliers entre autre. Le voile s’est dissipé, tout est net:


Après géobiologie

Les murs parlent dans une maison quelle qu’elle soit. Nous sommes consciemment ou inconsciemment sous l’effet du vécu du lieu que nous habitons ou dans lequel nous travaillons.

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